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Par les siècles passés, Lavardac était un ville capitale pour les bateliers. En effet, les marchandises passaient des péniches du Canal sur des bateaux plus petits pour une navigation plus difficile sur la Baïse, en amont du Pont de Bordes.

Elles étaient livrées à Nérac, Condom et Valence sur Baïse, grands centres marchands de la Guyenne.
C'est ainsi que les sociétés de transport fluvial installérent leurs chantier de réparation, de menuiserie marine, des centres de matériel de levage et chargement.

Vers 1850, ce sont plus de 100 bateaux qui étaient accostés aux quais et au moins 4 embarcations partaient, tirées par des chevaux, chaque jour en direction de Bordeaux. Ces voyages à Bordeaux prennaient 4 jours et plus pour revenir.

En 1909, Georges Larrose voit le jour à Lavardac, à proximité de l'écluse. Dès ses 9 ans, postillon, il méne les chevaux à tirer la péniche de son père. Aujourd'hui, c'est l'un des plus anciens bateliers du Canal du midi encore vivant. Il est plus connu sous le nom du "Grand Père Batelier".
Georges a édité le livre "Patrons de Barques, Patrons bateliers" biographie de sa vie batelière et de celles de ses pairs.

Une halte nautique accueille et permet le ravitaillement en eau.

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